De mère française et de père iranien, Jeremy Nattagh a grandi dans cette multiculture. Après un parcours de percussionniste, Jérémy Nattagh se consacre au Hang, un instrument constitué de deux hémisphères en acier, qui dégage une sonorité étrange et apaisante. Il croise les chemins de DOUNIA et de cette poésie particulière et colorées. Le Hang fait un écrin au textes de Said Mohamed et fait raisonner cette mémoire ancienne des cœurs reliés.
Avec Dounia l’enchantement est naturel et réciproque. Le hangpan enrobe et prépare à l’écoute de la poésie. Le souffle du chant soufi se mêle à celui du texte dit en français. Synthèse de plusieurs mondes, musicale, chant et poésie en un moment magique. Du souffle au son, du sens au sensible.